Sanctuarisons le pâturage !
"Qu'est-ce que c'est, que cette affreuse photo ?" me diras-tu, cher lecteur ! C'est le résultat qu'une photographe du dimanche (enfin, là, c'était un mercredi !) obtient en sautant sur son appareil ("sautant", vite dit...! Plutôt : "Mais, bon sang, où est-ce que j'ai mis ce satané appareil !").
Donc, une fois le susdit engin trouvé, la main tremblante et le coeur battant (de peur que l'oiseau ne s'envole, depuis 17 minutes qu'il attend sagement devant la fenêtre !), le cliché est enfin dans la boite... mais l'oiseau s'est envolé !
La photographe du dimanche se rend alors compte que, dans sa précipitation, elle a fait le point sur le poteau en métal et le grillage de la pâture et non sur l'animal ! Arghhh ! En plus, le tas de terre, c'est bof, niveau sex appeal !
"Enfin bref, le rapport avec le titre de l'article ?", t'impatientes-tu, cher lecteur qui attends depuis trois paragraphes la chute de l'histoire ! Et bien, c'est qu'un couple de Perdrix rouges a élu domicile dans la pâture et cohabite avec les poules et les canards !
Les chasseurs les nourrissent un peu partout alentour et, fines mouches, elles viennent se la couler douce à la ferme du bonheur : gueuletons, fiestas avec les potes, spa... il ne manque plus que les massages ! Mais là Grapy et Granette ne semblent pas décidés !